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[Des bulles et des vagues] La mer et les bateaux en BD


WildOne

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Cool, merci steph ;)

Long John Silver, c'est le même que dans l'île au trésor ?

 

Aquablue je n'ai jamais accroché, même si j'aime bien ce que fait Vatine :p

 

Clairement de gros clin d'yeux puisque c'est une histoire de piraterie et de tresor, d'aristrocratie ruinée mais le trésor n'est pas sur une ile. :non:

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Je me rends compte qu'on oublie une des meilleures series de ces dernieres année.

 

Tramp, ou l'histoire d'une barraterie. Le premier cycle est tout simplement génial.

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Je me rends compte qu'on oublie une des meilleures series de ces dernieres année.

 

Tramp, ou l'histoire d'une barraterie. Le premier cycle est tout simplement génial.

 

 

Je ne connais pas du tout :(

 

Riff Reb's sort une BD sur les pirates : A bord de l'étoile Matutine

http://www.izipik.com/images/200905/26/mdv9l0j8hjqzgudiy5-1629.jpg

 

Un dessinateur que j'aime beaucoup (je l'ai connu sur Myrtille Fauvette) et en général des scénarios un peu barré.

riffrebs.jpg.8cc02ca4171809a31731673957e3fed0.jpg

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Très éloigné du réalisme, mais je n'ai pas pu résister à l'envie d'en parler :cyp: (je suis retombé sur des vieux picsou)

Hägar Dünor le Viking ou Hägär le terrible, est un viking fainéant... Mais vous devez connaitre :W, place aux images.

HagarDunor21_17122005.jpg.eb20d3645d9187b3daf9561dfe856f9e.jpg

 

Un très bon site, avec des planches : http://www.hagardunor.net/hagardunor.php

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Invité §sha101ar

Nous trouvons aussi les passagers du vent

 

http://www.pirates-corsaires.com/img/les-passagers-du-vent.jpg

 

Cette fresque historique, qui a pour cadre la mer au XVIIIe siècle siècle, raconte les aventures rocambolesques et tragiques d'Isa. La jeune héroïne, une noble dont on a volé l'identité, rencontre sur un navire de la Marine royale un membre de l'équipage, Hoel, à qui elle sauve la vie. Hoel se retrouve prisonnier dans un sinistre ponton anglais. Aidée par son amie anglaise Mary, Isa parvient à le libérer. Isa, Hoel et Mary embarquent à bord d'un négrier, la « Marie-Caroline », et arrivent au comptoir de Juda en Afrique. Face aux intrigues de pouvoir et aux sortilèges africains, Isa doit lutter pour guérir Hoel d'un empoisonnement. La « Marie-Caroline » repart pour Saint-Domingue avec à son bord le « bois d’ébène » c’est-à-dire les esclaves. Ces derniers se mutinent mais leur révolte est réprimée dans un bain de sang. L'arrivée à Saint-Domingue sera déterminante pour Hoel et Isa.
source wikipédia

 

http://lh6.ggpht.com/_0_ECnvqK6xk/RqwRv5tKzSI/AAAAAAAAAOw/tpfYEy07S_I/bd13.jpg

 

http://www.coinbd.com/images/planches/passagersvent_t1.jpg

 

 

A noter la sortie cette semaine du 6ème tome de cette série (et dès aujourd'hui en avant-première dans "Le Télégramme" :D ) : La Petite Fille Bois-Caïman.

 

 

couv_petite_fille_bois_caiman.jpg.6a01308631fa4253093815f0236bd03c.jpg

 

 

Interview de l'auteur dans ce même journal :

 

Dessinateur discret et méthodique, François Bourgeon a mis six ans à faire naître les deux prochains tomes des Passagers du vent. Il revient sur ce long voyage en terre historique.

 

 

Pourquoi ce titre «La Petite Fille Bois-Caïman»?

Parce que ce nouvel album se déroule, en partie dans l'ancienne colonie française de Saint-Domingue qui deviendra Haïti. Dans ce pays, la cérémonie du Bois-Caïman, en 1791, est considérée comme l'acte fondateur qui conduira à l'indépendance. Zabo, la nouvelle héroïne va être témoin de cette scène historique qui débouchera sur le grand soulèvement des esclaves.

 

Qu'est-ce qui vous a incité à donner un nouveau souffle aux Passagers du vent?

À la sortie du cinquième tome de la série, «Le Bois d'ébène», j'étais un peu frustré. Il m'aurait fallu une vingtaine de pages de plus pour atteindre le but que je m'étais fixé. À savoir, poursuivre les aventures d'Isa dans les plantations de Louisiane, après que celle-ci ait suivi le triste cheminement des esclaves vers Saint-Domingue. Je m'étais toujours dit que je retrouverais un jour ou l'autre mon héroïne. Au début des années 90, j'ai voyagé en Louisiane, dans les Bayous. J'y ai fait de nombreuses photos. Et j'ai engrangé tout un matériel qui m'a servi à bâtir ces deux nouveaux épisodes. J'y ai travaillé pendant six ans. Autre chose, je voulais aussi créer un véritable lien de temps entre Isa, la bisaïeule de Zabo, et moi. Dans les pages qui vont paraître, les lecteurs rencontreront Nano le petit frère de cette dernière. Étant enfant j'aurais très bien pu rencontrer ce personnage fictif.

 

Ce nouveau tome nous replonge dans les années sombres de l'esclavage. Voulez-vous faire passer un message ?

Bien évidemment. Mais en évitant tout manichéisme. En montrant que de chaque côté, il y avait des abus. Comme ces affranchis qui devenaient à leur tour planteurs et faisaient travailler des esclaves. Ce qu'Isa a vécu, c'était hier. Et aujourd'hui, c'est Obama. Que de chemin parcouru en si peu de temps !

 

Vous signez avec une nouvelle maison d'édition «12 bis». Comment s'est faite cette rencontre?

J'ai connu quelques déboires avec Casterman, ma précédente maison d'édition. Cette période troublée a pris fin par une transaction. En clair, j'ai retrouvé ma liberté et mes droits sur mes précédents albums. Je connais depuis longtemps Dominique Burdot et Laurent Muller, les deux créateurs de ?12 bis?. Ils étaient respectivement directeur général et directeur éditorial chez Glénat, chez qui j'avais signé les cinq premiers album des Passagers du vent. Ils aiment vraiment les livres. Ils ont toujours eu beaucoup de respect pour les auteurs et les dessinateurs avec qui ils travaillent. Et ne sont pas tombés dans le piège du mercantilisme. C'est de plus en plus rare de rencontrer des gens comme eux dans le monde de l'édition, où l'argent, comme partout, a tendance à imposer sa loi. Un jour, je leur ai présenté l'intégralité des 142nouvelles planches qui ont donné naissance aux deux albums à venir. C'était à prendre ou à laisser. Rien ne pouvait être modifié. Ils ont accepté. Dès lors je me suis attelé à coloriser les vignettes. Contrairement à certains dessinateurs, je travaille toujours mes couleurs à la main. Pour éviter une forme de standardisation. Ce travail de titan a duré un an. Je m'en suis tiré avec une tendinite.

 

Vous avez la réputation d'être très pointilleux. Vous avez un sens très aiguisé du détail historique ou pictural. Comment avez vous préparé l'écriture du scénario?

Comme à mon habitude, j'ai mis des mois et des mois à me documenter. J'ai lu beaucoup d'ouvrages sur l'histoire d'Haïti et sur la guerre de Sécession. Par l'intermédiaire de la bibliothèque de Brest qui m'a rendu un fier service, j'ai réussi à mettre la main sur des gravures qui m'ont permis de restituer fidèlement plusieurs bâtiments comme l'église rouge et son presbytère qui tiennent une grande place dans le nouveau tome. Je me suis aussi rapproché du Laboratoire botanique des Antilles pour avoir des détails sur la flore. Je me suis plongé dans différentes méthodes d'apprentissage du créole haïtien. Un missionnaire qui longtemps a vécu en Haïti a relu mes bulles en créole et les a corrigées. J'ai également réalisé une maquette extrêmement fidèle d'une plantation pour restituer les ombres et travailler sous divers angles.

 

Ces éléments historiques peuvent-ils influer sur le cours du scénario?

Bien évidemment. Par exemple, quand Isa embarque sur une gabare au Cap-Français, elle rencontre à bord une comédienne française. La troupe Louis Tabary à laquelle elle appartenait s'est bel et bien produite en Louisiane. Au début, mon scénario ne comportait pas cette scène. Je l'ai rajoutée après avoir appris l'existence de cette troupe. De même, l'église rouge était tenue par un prêtre français originaire de Lyon. Je le fais revivre dans mes dessins.

 

Après Isa, pourquoi avoir choisi Zabo une nouvelle héroïne et non pas un héros?

J'ai toujours pensé que la femme était plus intéressante que l'homme. Je n'ai aucune tendresse pour le machisme. Une héroïne peut vivre les mêmes aventures qu'un homme. Mais elle saura utiliser les mots qu'il faut pour raconter ce qu'elle a vécu. De plus, la compagnie d'une femme est toujours plus agréable pour un dessinateur de BD qui travaille dans sa bulle (rires).

 

Trouvez-vous dans la bande dessinée des passerelles avec votre premier métier qui était verrier d'art?

Non, pas tellement. Jeune diplômé j'étais tenté par la restauration des vieux vitraux. Malheureusement, à l'époque, seuls les grands ateliers embauchaient. On y travaillait presque à la chaîne. Cela ne me tentait vraiment pas. Je suis arrivé à la BD par hasard. Une amie qui travaillait pour Lisette, un journal féminin, et qui était en panne de dessinateur m'avait demandé de lui rendre service en livrant quelques illustrations. C'est comme ça que tout a commencé. Contrairement aux vitraux, qui m'auraient cantonné à un travail assez répétitif, la BD me permet d'assouvir ma passion pour l'histoire. Au début de ma carrière, je réalisais de grandes planches didactiques pour Pif Gadget. On y représentait des drakkars, des châteaux forts... Déjà il me fallait me documenter dans les musées les bibliothèques. J'adorais ça.

 

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/j-assouvis-ma-passion-pour-l-histoire-30-08-2009-528545.php

 

 

 

 

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A noter la sortie cette semaine du 6ème tome de cette série (et dès aujourd'hui en avant-première dans "Le Télégramme" :D ) : La Petite Fille Bois-Caïman.

 

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/213549/couv_petite_fille_bois_caiman.jpg

 

 

Interview de l'auteur dans ce même journal :

 

Dessinateur discret et méthodique, François Bourgeon a mis six ans à faire naître les deux prochains tomes des Passagers du vent. Il revient sur ce long voyage en terre historique.

 

 

Pourquoi ce titre «La Petite Fille Bois-Caïman»?

Parce que ce nouvel album se déroule, en partie dans l'ancienne colonie française de Saint-Domingue qui deviendra Haïti. Dans ce pays, la cérémonie du Bois-Caïman, en 1791, est considérée comme l'acte fondateur qui conduira à l'indépendance. Zabo, la nouvelle héroïne va être témoin de cette scène historique qui débouchera sur le grand soulèvement des esclaves.

 

Qu'est-ce qui vous a incité à donner un nouveau souffle aux Passagers du vent?

À la sortie du cinquième tome de la série, «Le Bois d'ébène», j'étais un peu frustré. Il m'aurait fallu une vingtaine de pages de plus pour atteindre le but que je m'étais fixé. À savoir, poursuivre les aventures d'Isa dans les plantations de Louisiane, après que celle-ci ait suivi le triste cheminement des esclaves vers Saint-Domingue. Je m'étais toujours dit que je retrouverais un jour ou l'autre mon héroïne. Au début des années 90, j'ai voyagé en Louisiane, dans les Bayous. J'y ai fait de nombreuses photos. Et j'ai engrangé tout un matériel qui m'a servi à bâtir ces deux nouveaux épisodes. J'y ai travaillé pendant six ans. Autre chose, je voulais aussi créer un véritable lien de temps entre Isa, la bisaïeule de Zabo, et moi. Dans les pages qui vont paraître, les lecteurs rencontreront Nano le petit frère de cette dernière. Étant enfant j'aurais très bien pu rencontrer ce personnage fictif.

 

Ce nouveau tome nous replonge dans les années sombres de l'esclavage. Voulez-vous faire passer un message ?

Bien évidemment. Mais en évitant tout manichéisme. En montrant que de chaque côté, il y avait des abus. Comme ces affranchis qui devenaient à leur tour planteurs et faisaient travailler des esclaves. Ce qu'Isa a vécu, c'était hier. Et aujourd'hui, c'est Obama. Que de chemin parcouru en si peu de temps !

 

Vous signez avec une nouvelle maison d'édition «12 bis». Comment s'est faite cette rencontre?

J'ai connu quelques déboires avec Casterman, ma précédente maison d'édition. Cette période troublée a pris fin par une transaction. En clair, j'ai retrouvé ma liberté et mes droits sur mes précédents albums. Je connais depuis longtemps Dominique Burdot et Laurent Muller, les deux créateurs de ?12 bis?. Ils étaient respectivement directeur général et directeur éditorial chez Glénat, chez qui j'avais signé les cinq premiers album des Passagers du vent. Ils aiment vraiment les livres. Ils ont toujours eu beaucoup de respect pour les auteurs et les dessinateurs avec qui ils travaillent. Et ne sont pas tombés dans le piège du mercantilisme. C'est de plus en plus rare de rencontrer des gens comme eux dans le monde de l'édition, où l'argent, comme partout, a tendance à imposer sa loi. Un jour, je leur ai présenté l'intégralité des 142nouvelles planches qui ont donné naissance aux deux albums à venir. C'était à prendre ou à laisser. Rien ne pouvait être modifié. Ils ont accepté. Dès lors je me suis attelé à coloriser les vignettes. Contrairement à certains dessinateurs, je travaille toujours mes couleurs à la main. Pour éviter une forme de standardisation. Ce travail de titan a duré un an. Je m'en suis tiré avec une tendinite.

 

Vous avez la réputation d'être très pointilleux. Vous avez un sens très aiguisé du détail historique ou pictural. Comment avez vous préparé l'écriture du scénario?

Comme à mon habitude, j'ai mis des mois et des mois à me documenter. J'ai lu beaucoup d'ouvrages sur l'histoire d'Haïti et sur la guerre de Sécession. Par l'intermédiaire de la bibliothèque de Brest qui m'a rendu un fier service, j'ai réussi à mettre la main sur des gravures qui m'ont permis de restituer fidèlement plusieurs bâtiments comme l'église rouge et son presbytère qui tiennent une grande place dans le nouveau tome. Je me suis aussi rapproché du Laboratoire botanique des Antilles pour avoir des détails sur la flore. Je me suis plongé dans différentes méthodes d'apprentissage du créole haïtien. Un missionnaire qui longtemps a vécu en Haïti a relu mes bulles en créole et les a corrigées. J'ai également réalisé une maquette extrêmement fidèle d'une plantation pour restituer les ombres et travailler sous divers angles.

 

Ces éléments historiques peuvent-ils influer sur le cours du scénario?

Bien évidemment. Par exemple, quand Isa embarque sur une gabare au Cap-Français, elle rencontre à bord une comédienne française. La troupe Louis Tabary à laquelle elle appartenait s'est bel et bien produite en Louisiane. Au début, mon scénario ne comportait pas cette scène. Je l'ai rajoutée après avoir appris l'existence de cette troupe. De même, l'église rouge était tenue par un prêtre français originaire de Lyon. Je le fais revivre dans mes dessins.

 

Après Isa, pourquoi avoir choisi Zabo une nouvelle héroïne et non pas un héros?

J'ai toujours pensé que la femme était plus intéressante que l'homme. Je n'ai aucune tendresse pour le machisme. Une héroïne peut vivre les mêmes aventures qu'un homme. Mais elle saura utiliser les mots qu'il faut pour raconter ce qu'elle a vécu. De plus, la compagnie d'une femme est toujours plus agréable pour un dessinateur de BD qui travaille dans sa bulle (rires).

 

Trouvez-vous dans la bande dessinée des passerelles avec votre premier métier qui était verrier d'art?

Non, pas tellement. Jeune diplômé j'étais tenté par la restauration des vieux vitraux. Malheureusement, à l'époque, seuls les grands ateliers embauchaient. On y travaillait presque à la chaîne. Cela ne me tentait vraiment pas. Je suis arrivé à la BD par hasard. Une amie qui travaillait pour Lisette, un journal féminin, et qui était en panne de dessinateur m'avait demandé de lui rendre service en livrant quelques illustrations. C'est comme ça que tout a commencé. Contrairement aux vitraux, qui m'auraient cantonné à un travail assez répétitif, la BD me permet d'assouvir ma passion pour l'histoire. Au début de ma carrière, je réalisais de grandes planches didactiques pour Pif Gadget. On y représentait des drakkars, des châteaux forts... Déjà il me fallait me documenter dans les musées les bibliothèques. J'adorais ça.

 

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/j-assouvis-ma-passion-pour-l-histoire-30-08-2009-528545.php

 

 

 

 

Merci pour l'info je pensais la série définitivement arrêtée. Je note que Bourgeon change d'éditeur pour l'occasion, peut être des rééditions avec bonus en perspective ?

 

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Je viens de lire la news sur http://20minutes.fr :oui:

http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn_mvs/2009-09/2009-09-03/article_0309-CULT17-BOURGEON.jpg

 

Les admirateurs de la belle Isa n'y croyaient plus. Un quart de siècle après le 5e tome des « Passagers du vent », ­François Bourgeon revient à la série qui l'a consacré comme l'un des maîtres de la BD francophone.

 

L'excellence documentaire et la richesse iconographique de cette suite confirment que Bourgeon n'a rien perdu de son légendaire professionnalisme. Il confesse d'ailleurs avoir consulté, depuis 2003, près de trois cents livres relatifs au sujet ! Un indispensable lexique clôt même le récit, dont les nombreux dialogues en cajun et en créole renforcent l'authenticité. Finalement, La Petite Fille Bois-Caïman est incontestablement un grand Bourgeon. Et rien qu'à ce titre, ses nombreux fans conviendront que, si l'attente a été longue, elle n'aura pas été vaine.
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On a pas parlé de l'inédit d'Hugo Pratt : Sandokan, le pirate de la série télé (Le Tigre de la Malaisie)

Après 40 ans oubliée par un éditeur italien, une BD du maître inédite sur le marché sort (Hugo Pratt est décédé en 1995) !

image_56766211.jpg.bce2d740b492e7f0129dcb65e5a0bda3.jpg

 

Bon je l'ai commandé sur internet le jour de sa sortie. Je devrais bientôt le recevoir :buzz:

Je vous ferais un petit résumé. Mais ça s'annonce comme du bon Pratt, la période où il n'était pas encore connu.

 

image_56766217.jpg.316f66c5757b2a551fde5850214306ea.jpg

 

Comme on le voit ici ça ressemble à s'y méprendre à du Corto Maltese période les Ethiopiques. Les bulles carrées sont les bulles d'origine qu'on peut trouver sur les premières éditions de corto maltese. Pour les rééditions françaises et la mise en couleurs, l'éditeur est repassé dessus avec des phylactères ronds :(

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Ayé :o J'ai lu Sandokan.

Heureux... et déçu à la fois.

C'est du bon Pratt au niveau graphique, tout est là (l'aventure, l'odeur des contrées exotiques), des éléments nous rappelle fortement Corto Maltese et les sagas à venir. Le format de publication est excellent : c'est un album à l'italienne, format horizontal, rangé dans une belle pochette cartonné pour qu'il ne s'âbime pas.

Le personnage Sandokan est génial et mériterait d'avoir eu ses propres aventures, à l'instar de Corto.

 

Pourquoi déçu alors :??: l'histoire n'est pas finie, et fait donc seulement 64 "demi-pages"... De plus on sent que Pratt lui-même se lasse vers la fin et attend en toute hâte de retrouver Corto Maltese. Moi aussi... Ce livre m'a donné l'envie de replonger dans l'univers du marin ;)

 

D'ailleurs j'ai vu qu'un livre "Carnet de la cambuse : Les recettes de Corto Maltese" regroupe les recettes que Corto aurait pû essayer dans son périple autour du monde :miam:

cambuse.jpg.fdaaed7ebb6e45dad48690227443ebc6.jpg

Je vous tiens au courant si je déniche ce livre.

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Là c'est un petit éditeur pour la suite des "passagers du vent" : 12bis.

 

En même temps, je pense qu'il l'a fait pour suivre une des personnes avec qui il a travaillé :

Laurent Muller, ancien directeur éditorial de Glénat et actuellement co-fondateur des éditions 12 bis.

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:up:

 

Cet apres midi j'ai été m'acheter les 2 premiers tomes de la serie Les pirates de Barataria.

 

Sur fond de guerre anglo americaine au debut du 19eme. Corsaire piraterie et cannonade. :rs:

 

http://www.bdtheque.com/repupload/T/T_29059.JPG

 

 

 

Dans la foulée on a pas encore parlé de l'album de Michel Vaillant

La nuit de Carnac avec Brest Concarneau, les pecheries, la criée et les off-shore des années 90 mis en scene. :bien:

http://www.bdtheque.com/repupload/T/T_2777.GIF

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Invité §ton817Zq

Très éloigné du réalisme, mais je n'ai pas pu résister à l'envie d'en parler :cyp: (je suis retombé sur des vieux picsou)

Hägar Dünor le Viking ou Hägär le terrible, est un viking fainéant... Mais vous devez connaitre :W, place aux images.

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/506654/HagarDunor21_17122005.jpg

 

Un très bon site, avec des planches : http://www.hagardunor.net/hagardunor.php

 

 

 

boonize.gif.626061aa2876323e1655c645bdaec2fa.gif j'adorais quand j'étais plus jeune... :love:

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Invité §ton817Zq

Donc tu files l'acheter ? En BD, je vous conseille les Thorgal, avec le changement de scénariste ça reprend carrément bien :bien:

 

Pour le thème de la mer, c'est un viking, donc ça colle :oui:

Enfin si vous aimez les drakkars :fleur:

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:up: Pour "les bleus de la marine" des tuniques bleues, en presse cette semaine à 3.99€ (en France, désolé Steph je sais pas si c'est pareil en Belgique)

 

L'histoire : Blutch et Chesterfield se font virer de la cavalerie, puis de l'infanterie, puis des artilleurs, puis des infirmiers... Ils finissent par échouer dans la marine.

 

Niveau graphisme, c'est les premiers albums des Tuniques Bleues de Lambil, donc c'est pas encore ça, mais niveau détail des bateaux, je trouve ça top, et je sais que c'est très documenté.

 

Extraits :

tb01.jpg.28ac7bd50bc3cee681e09b43744b2211.jpg

tb02.jpg.b4a6d9bca779ce85a913ec60feb59fb5.jpg

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Invité §ton817Zq

:up: Pour "les bleus de la marine" des tuniques bleues, en presse cette semaine à 3.99€ (en France, désolé Steph je sais pas si c'est pareil en Belgique)

 

L'histoire : Blutch et Chesterfield se font virer de la cavalerie, puis de l'infanterie, puis des artilleurs, puis des infirmiers... Ils finissent par échouer dans la marine.

 

Niveau graphisme, c'est les premiers albums des Tuniques Bleues de Lambil, donc c'est pas encore ça, mais niveau détail des bateaux, je trouve ça top, et je sais que c'est très documenté.

 

Extraits :

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/506654/tb01.jpg

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/506654/tb02.jpg

 

 

 

benjidu35.gif.0fe010119f2d88b09c85ebab08c3da64.gif

 

J'ai acheté le premier de la série, je vais prendre aussi celui-ci... :jap:

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:up: Pour "les bleus de la marine" des tuniques bleues, en presse cette semaine à 3.99€ (en France, désolé Steph je sais pas si c'est pareil en Belgique)

 

L'histoire : Blutch et Chesterfield se font virer de la cavalerie, puis de l'infanterie, puis des artilleurs, puis des infirmiers... Ils finissent par échouer dans la marine.

 

Niveau graphisme, c'est les premiers albums des Tuniques Bleues de Lambil, donc c'est pas encore ça, mais niveau détail des bateaux, je trouve ça top, et je sais que c'est très documenté.

 

Extraits :

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/506654/tb01.jpg

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/mesimages/506654/tb02.jpg

 

C'est gentil mais j'ai déjà toute la collection. :ddr:

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